C'est pas tout. Nous devons y aller |
Suivez-moi ! |
ET QUE CA SAUTE ! |
Larguez les amarres. Accrochez-vous ! |
Cela risque de bouger, |
Un peu ! |
Nous avons passé une semaine extraordinaire. Un peu rapide à notre goût.
"Bon ! Ça suffit comme ça ! Ok ! Je comprends que vous soyez un peu perturbés par la séparation, mais n’est-ce pas votre état naturel, d’être perturbé?
Personne ne pense à moi, pourtant je croupis au fond d’un port. Je sens les algues et les mollusques me gratter, et je n’ai pas de main pour me soulager.
- C’est quand qu’on part ?
Je crois que mon capitaine est dépassé par les évènements. Il faudrait que Papi se resaisisse. Il a du boulot. Surtout les cours d’anglais. Heureusement qu' Anneso est passée par là. Elle a posé des bases saines. Ils n’ont plus qu’à continuer sur leur lancée. D’ailleurs, je suis bien triste qu’ils soient tous partis. J’aimais bien entendre les cris de joie de Louise, ses hurlements, aussi. J’adorais voir Ninon se toiletter pendant trois heures et tenir sa mèche pendant les séances photos.
Maintenant le calme est revenu. Je n’ai pas de chance avec mon capitaine neurasthénique. Je plains son fils.
D’ailleurs, Vivien doit être triste, les copains canadiens d'hier soir prennent la mer. Ah ! Les rencontres éphémères des gens mer. Tous les enfants que nous croisons sont accompagnés de leurs frères ou de leurs sœurs. Ils ont l’avantage de n’être jamais seuls. Vivien ne se plaint jamais, mais quelquefois je sens en lui un manque. Son père le laisse libre de continuer ou d’arrêter. Pour l’instant, il continue. Sincèrement, il m’épate.
La nouvelle mode est de se tenir la mèche pendant les séances photos. |
Ah non, les canadiens ne sont pas encore partis. Ils viennent d’arriver dans le bateau. Le départ est différé d’une petite heure.
Théoriquement, demain, nous naviguons : une petite étape de 30 milles au moteur, car ici, soit il y trop de vent pour Fred, soit le vent est aux abonnés absents."
Nous avons abdiqué ! |
Alors bon vent à tous: crèche, collège, entreprises et mer de rêve. Beijos grandes, Avel Vat também!
RépondreSupprimerAh ça oui, vous pouvez le dire, ces retrouvailles étaient géniales et extraordinaires.
RépondreSupprimerNous retrouver tous les 5, là-bas, c'était incroyable, très intense et bien trop rapide.
Maintenant, nous allons reprendre chacun notre cap mais poussés par un vent fabuleux, jusqu'à la prochaine escale.
En attendant, avec Louise, nous travaillons notre mèche, pour rester à la mode de chez nous, euh non de Ninon. OUI ! Bisous à tous.
Anemos gia ola kosmos apo pou kipros. Bon vent dans tous les sens.
RépondreSupprimerPetit coucou de Picardie. J'ai appris ton départ outre mer. C'est l’occasion de donné quelque nouvelle. Pour moi tout vas bien, j'ai obtenu mon BTS production animal l'an passé et actuellement je me prépare à partir en Irlande pendant 6 mois. Voila pour les news. Je vous souhaite bon vent et à bientôt.
RépondreSupprimer