Cela ne va pas fort, j’ai le moral au ras des
pâquerettes, et je me jetterais bien des falaises du raz de Sein. Je suis en
pleine dépression. L’idée de vivre est devenue invivable.
Mon licenciement, le départ de ma femme avec mon
éditeur, mon incapacité à écrire, mon sexe à piles en berne et le fait que ma
belle-sœur vient de s’apercevoir que l’aboiement n’est pas un signe
d’intelligence (cela prouve qu’elle peut parfois avoir le sens des réalités)
ont miné mon optimisme naturel par des explosifs à base de pulsion suicidaire.
Maman excuse-moi. Tu as déjà perdu un fils, un
perdre un deuxième ne te ravira pas.
Papa excuse-moi. Tu as déjà perdu un fils, un perdre
un deuxième ne te ravira pas.
Mes nombreux enfants, ma disparition ne vous
comblera pas de joie, surtout que mon héritage est dans le négatif comme mon
moral.
Ma femme, tu es bientôt libre de forniquer avec mon
éditeur sans culpabiliser.
En écrivant ces quelques mots, je m’aperçois que
personne ne me regrettera. Tant mieux, mon départ n’en sera que plus facile.
Oui, ce que vous avez sous les yeux est mon dernier
écrit. J’ai déjà choisi ma façon de quitter ce monde. Je vous promets qu’elle
ne sera pas discrète. Je mourrai en martyre pour une juste cause. Ce ne sera
pas pour les sans dents, ils ont déjà Valérie. Ma mort sera un hommage à tous
les musulmans opprimés par les juifs et les occidentaux. Je vais perpétrer un
attentat suicide. Ainsi je vais lier l’utile à l’agréable.
Pour cela je me suis converti à l’islam et j’ai
rejoint un groupe extrémiste qui a rapidement compris que j’étais un atout
solide pour leur juste cause.
Ça y est. Je suis bardé d’explosif. Je vous salue
tous, compagnon de ma longue errance. Je quitte ce monde injuste pour rejoindre
le paradis des martyres.
Maman ! Je me suis fait avoir. Ce n’est pas
mille vierges qui m’attendaient, mais mille verges. Au secours !!!!!
Cent mille verges c'est mieux.
RépondreSupprimerMony Vibescu en la saisissant avait passé les mains sous son gros cul qui semblait un beau melon qui aurait poussé au soleil de minuit tant il était blanc et plein. Chacune de ses fesses semblait avoir été taillée dans un bloc de carrare sans défaut et les cuisses qui descendaient en dessous étaient rondes comme les colonnes d’un temple grec. Mais quelle différence ! Les cuisses étaient tièdes et les fesses étaient froides, ce qui est un signe de bonne santé.
Mr Aoucool, je découvre grâce à vous une littérature qui m'était inconnu. D'ailleurs à part "Alcool" je suis assez inculte sur son œuvre. Chacun son péché, vous c'est le sexe, moi la bibine.
RépondreSupprimerBises