une petite précision s'impose


Ce blog de voyage, conçu pour raconter notre périple en voilier, s’est transformé progressivement en un blog hébergeant des articles hétéroclites. Ils sont les récits d’autres périples, plus cérébraux que physiques.
Ma compagne préfère ce style de voyage. Une préférence extrémiste, je suis enfermé à double tour dans un cabinet noir. Seul un clavier lumineux me permet de communiquer avec le monde extérieur.







samedi 28 janvier 2012

Hollande et le triple AAAAAAAAAAAAAAAAAAA+++++++


Veuillez bien m’excuser, humbles internautes, surfeurs invétérés, pour votre atterrissage involontaire sur mon blog. Vous avez tapé un mot sur un moteur de recherche, et vous débarquez sur un article qui n’a aucun rapport avec lui. Le moteur de recherche n’est pas responsable de cette bévue. Ce n’est pas la peine d’appeler le garagiste ou de vérifier le filtre à gasoil, le problème vient d’ailleurs.
Le problème est mézigue. En général, lorsque j’écris un article, je tape sur les touches du clavier. Et bien, j’ai fait la même chose. Je n’ai pas trouvé d’autres moyens d’écrire un article que de taper sur des touches quelles qu’elles soient. Cependant aujourd’hui, j’ai changé un ordre. Normalement, je rédige sans connaître le titre, et en fonction du sujet traité, j’appose une étiquette et le range dans le placard. Aujourd’hui, jour exceptionnel : c’est la première fois que je vis ce jour. J’ai décidé de changer l’ordre : je trouve un titre et je griffonne en fonction de ce dernier.
 Etant un homme pragmatique, je n’ai pas tergiversé pendant trois heures et cinquante-sept minutes. Le titre est simple et concis, et surtout il n’a aucun rapport avec le texte.
Vous comprenez maintenant votre arrivée impromptue sur le blog. Entre parenthèses, vous auriez pu frapper avant d’entrer. C’est vrai ça ! Ça débarque à l’improviste, fouille partout, déterre de vieux articles, puis part sans un mot de politesse et sans laisser d’adresse. Tout fout le camp.
Je serais curieux de savoir où est stocké l’article.  Ainsi, si je découvrais l’endroit, j’y installerais une sonnette et un paillasson afin que les  voyageurs égarés puissent prévenir de leur arrivée et entrer sans salir le parquet ciré à l’huile de coude.
L’article se termine, je vous souhaite un bon voyage sur le Web.

PS : Ma bonté me force à écrire quelques lignes en rapport avec le titre :

Oh landes ! Oh bruyères ! Oh belles fougères
N’ai-je donc tant vécu que pour ce parterre ?
Et ne suis-je courbé dans ce ramassage
Que pour voir des girolles sur mon passage ?
Mon panier qu’avec respect toute la bourgade vénère,
Mon panier, qui tant de fois a nourri ce ministère
Tant de fois remplie la panse du président,
Trahit donc ma recette, et rejoint Satan.

Tirade issue d’une pièce écrite au XVI siècle par un de mes ancêtres landais. Il aurait été ensuite plagié au XVII par un auteur dramatique dont je tairai le nom pour ne point porter ombrage à ses descendants.

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