La Corogne, Saint Valéry en Caux en cinq jours et vingt et une heures ! C’est pas mal pour un voilier sans équipage et sans capitaine. J’ai été obligé de faire deux étapes, une à Camaret, l’autre à Alderney. Le pitaine ficelé à fond de cale s’était déshydraté pendant la navigation. J’avais oublié que vous, les humains aviez besoin de vous abreuver.
Par pitié, avec l’accord de Paulo et Marco nous avons ressorti le pitaine juste avant l’arrivée, ainsi il a pu frimer en essayer de me barrer. Marco, vigilant compensait sa maladresse.
Cerise sur le gâteau, il a eu l’agréable surprise d’apercevoir une silhouette connue et amicale sur la jetée ouest du port. Jean, accompagné de fabienne et du fiston du prétendu maitre à bord, était là pour l’accueillir, lui qui n’avait rien foutu de la traversée.
Son fils a sauté sur le pont du bateau. Ainsi le père et le fils ont franchi les écluses ensemble.
Jean et Fabienne, rapides, étaient là pour attraper les amarres.
Merci !
Monsieur Avel Vat,
RépondreSupprimerIl n'y a pas que votre pitaine qui boit. Quand je regarde vos dernières vadrouilles à Saint Valéry, vous ne marchiez pas trop droit. Ce n'est pas bien de calomnier. Dites merci à votre pitaine qui vous a fait courir comme un champion.