une petite précision s'impose


Ce blog de voyage, conçu pour raconter notre périple en voilier, s’est transformé progressivement en un blog hébergeant des articles hétéroclites. Ils sont les récits d’autres périples, plus cérébraux que physiques.
Ma compagne préfère ce style de voyage. Une préférence extrémiste, je suis enfermé à double tour dans un cabinet noir. Seul un clavier lumineux me permet de communiquer avec le monde extérieur.







mardi 12 juillet 2011

Saint Valéry en Caux !

La Corogne, Saint Valéry en Caux en cinq jours et vingt et une heures ! C’est pas mal pour un voilier sans équipage et sans capitaine. J’ai été obligé de faire deux étapes, une à Camaret, l’autre à Alderney. Le pitaine ficelé à fond de cale s’était déshydraté pendant la navigation. J’avais oublié que vous, les humains aviez besoin de vous abreuver.
Par pitié, avec l’accord de Paulo et Marco nous avons ressorti le pitaine juste avant l’arrivée, ainsi il a pu frimer en  essayer de me  barrer. Marco, vigilant compensait sa maladresse.
Cerise sur le gâteau, il a eu l’agréable surprise d’apercevoir une silhouette connue et amicale sur la jetée ouest du port. Jean, accompagné de fabienne et du fiston du prétendu  maitre à bord, était là pour l’accueillir, lui qui n’avait rien foutu de la traversée.
Son fils a sauté sur le pont du bateau. Ainsi le père et le fils ont franchi les écluses ensemble.  
Jean et Fabienne, rapides, étaient là pour attraper les amarres.
Merci !

1 commentaire:

  1. Monsieur Avel Vat,
    Il n'y a pas que votre pitaine qui boit. Quand je regarde vos dernières vadrouilles à Saint Valéry, vous ne marchiez pas trop droit. Ce n'est pas bien de calomnier. Dites merci à votre pitaine qui vous a fait courir comme un champion.

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