une petite précision s'impose


Ce blog de voyage, conçu pour raconter notre périple en voilier, s’est transformé progressivement en un blog hébergeant des articles hétéroclites. Ils sont les récits d’autres périples, plus cérébraux que physiques.
Ma compagne préfère ce style de voyage. Une préférence extrémiste, je suis enfermé à double tour dans un cabinet noir. Seul un clavier lumineux me permet de communiquer avec le monde extérieur.







samedi 25 juin 2016

Départ de la petite grande Bretagne



Le programme des vacances du mois d’Aout est bouclé. Nous irons sur les côtes de la Bretagne nord assister au départ de la petite Grande Bretagne. Elle sera amputée de l’Ecosse. Nous rejoindrons les lieux du convoyage avec Avel Vat, notre fidèle voilier.

La petite Grande Bretagne nous quitte définitivement. Cependant, peu de ports sont en mesure d’accueillir un tel vaisseau.
Les USA ont refusé. Il craigne le retour du père créateur.
L’Amérique du sud préfère garder l’espagnol et le portugais comme langues prépondérantes.
L’Afrique se méfie de ce parasite, dont elle connait la longueur des dents. Il est capable de les sucer jusqu’au sang.
Seul la Chine et Taïwan sont d’accord pour accueillir ce gigantesque navire.
Elle glissera ses côtes nord, qui deviendront nord-ouest entre les deux pays. Les chinois auront ainsi un accès à Taïwan par la terre. La construction prévue du tunnel deviendra obsolète. Les taïwanais, qui connaissent l’esprit belliqueux des petits grands bretons se sentiront en sécurité. L’Angleterre est un des rares pays au monde qui n’a jamais été envahi. Les chinois hésiteront avant d’oser traverser l’Albion, surtout que les autochtones sont les rois du placage. La City intéresse les deux pays. Les grands petits bretons y trouveront évidemment leur compte. Ils seront immergés au milieu des pays producteurs de thés. Ils seront entre deux pays économiquement forts. Il leur suffira d’avoir une main d’œuvre moins chère et des charges sociales inexistantes pour rafler le pactole (Qualités dans lesquelles ils excellent déjà).

Le convoyage fera l’objet d’un prochain article qui paraîtra théoriquement demain.  Je rappelle à mes charmantes lectrices et mes charmants lecteurs que le numéro du dimanche est plus cher.
Je vous abandonne car mes deux filles et ma femme ont une idée totalement farfelue. Elles montent sur un quadrupède à quatre jambes, hennissant et non ruminant.

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