Avertissement :
Lecteurs, lectrices, le texte qui suit choquera
certaines* d’entre vous. Le vocabulaire employé est issu du bas fond du
fondement. Les métaphores ne sont pas mieux loties. Les personnes sensibles et
pudiques sont priées de lire les yeux fermés, ou de sortir du blog en n’oubliant
pas de fermer la porte.
* Je suis pour l’égalité des sexes.
Nos politiques dirigeants ont-il les couilles molles
ou sont-ils des couilles molles ? Être une couille molle peut être plus
avantageux, il est toujours possible qu’une main égarée par la luxure viennent
vous titiller. Avoir les couilles molles est physiologiquement difficile, comme
les avoir dures d’ailleurs. Leur état change en fonction des prévisions de la
météo et de la température de l’eau de mer en été, après un printemps habituel.
La question aurait dû être posée autrement :
Les politiques ont-ils des couilles ?
Ça saute aux yeux. Il n’y a pas besoin de développer
de thèse, d’antithèse, juste une synthèse qui se compose d’un seul mot :
NON !
Par contre, ils ont une sacrée langue, de bois,
c’est une évidence, qui lèche parfaitement.
Nos deux derniers présidents, Sarkozy et François
ont réussi à quelques années d’intervalle un exploit hors du commun : lécher
le cul de Mittal. Il n’a jamais eu le cul aussi propre. D’ailleurs au niveau
mondial, une nouvelle caste est apparue : la caste des culs propres. Ils
sont approximativement un millier. Ils sont les seuls au monde à ne jamais se
servir de papier toilette. Il y a toujours quelqu’un pour y palier. D’ailleurs,
ils sont même obligés d’utiliser de la pommade pour les érythèmes fessiers.
Chacun son plaisir, et je ne me permettrai pas de
juger l’accomplissement de leur phantasme. Cependant, nos deux présidents ont
été élus sur des promesses de campagne qui était en résumant : on nous
lèchera le cul. Ainsi le peuple déçu se rabat sur les extrêmes. Le nombre de
droitier est plus important chez les électeurs, cela fait froid dans le dos.
Nous voulons juste la vérité. Qu’ils nous
disent :
- Voilà nous aimons lécher, et en plus nous sommes
payés pour ça, alors pourquoi s’en priver.
Ou bien :
- Nous n’avons pas le choix, nous y sommes obligés. Nous
avons horreur de cette pratique, cependant les dirigeants du monde économique
adorent être léchés et ne nous laissent pas le choix. Nous sommes pieds et
poings liés, et lorsque nous désobéissons, le fouet nous cisaille la peau du
dos et des fesses.
Peut-être que
le peuple serait prêt à vous croire, et à vous suivre dans une politique économique
alternative, moins xénophobe et moins scatologique.
- Chéri !
C’est ma femme qui m’interrompt comme d’habitude.
- Oui.
- Ce n’est plus la peine de m’acheter du papier
toilette.
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