J’ai pu bosser sur le bateau sans problème. Le chef de chantier m’y a autorisé.
J’ai fait la fête au tourteau. Comme après la révolution de 1789, j’ai décapité les boulons récalcitrants.
Ensuite, en retirant l’arbre, j’ai eu l’agréable surprise de constater que le dernier réalésage avait été exécuté sommairement.
Depuis le dernier changement du presse-étoupe, une fuite étrange et pénétrante, non pas d’une femme inconnue, mais d’origine inconnue, me tarabustait. La seule logique, voulait que l’eau de mer passe au travers de l’arbre, qui est une barre en inox de trente millimètre de diamètre. Cette hypothèse était de suite rayée. A l’époque, j’avais même arrêté de boire pendant trois heures, de peur d’avoir des hallucinations collectives. Je ne m’étais pas trompé. Du coup j’ai rattrapé mon retard, je suis rond comme une queue de pelle.
Par contre un phénomène étonnant : depuis que le bateau est au sec, l’eau n’entre plus.
Cette pièce est l'arbre d'hélice |
elle doit être parfaitement lisse. |
Regardez bien la canette de coca. |
Mine de rien, elle s'est approchée du joint Volvo ( presse-étoupe) |
Pour copuler, la garce. Regardez bien le verre. |
Vous auriez aimé voir la suite, bande de petits cochons ou cochonnes.
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