Je n’ai aucune animosité envers les portugais. Je suis sincère. Ils sont accueillants, généreux, bons. Cependant, je hais leurs moustiques. Ils n’ont rien de comparable à nos moustiques nourrit au lait cru. Ceux du nord de la France, ceux du sud, parait-il, sont terribles, surtout les camarguais. Nos moustiques sont bien gras, bien visibles, ils sont une cible facile pour une charentaise ou un magazine féminin.
Les portugais, les moustiques évidemment, pratiquent la technique du camouflage. Nous étions ancrés à proximité d’une base militaire. Cela a peut-être un rapport. Ils sont aussi spécialisés dans la reproduction rapide. Vous en tuez un, dix rappliquent, avec le désir de venger leur maman. A moins qu’ils aient des liens de parenté avec de l’hydre de Lerne.
Ils sont minuscules, est-ce dû à la crise qui sévit au Portugal ? Petit mais vigoureux. Je les soupçonne de se shooter aux répulsifs.
Ma charentaise s’est trouvée démuni face à tant d’adversité. Nous avons vaincu, le dernier a succombé au moment du réveil.
L’absence de magazine féminin a renforcé l’adversité.
La navigation d’hier, a permis d’aérer de nouveau les draps. Ils ont appuyé le moteur, nous avons même eu droit à deux heures de navigation à la voile ; un pur bonheur. Aujourd’hui, je pense que nous ne bougeons pas. Des cours du CNED à envoyer et divers babiole.
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