Ce matin, j’ai appelé Anneso pour lui dire que j’étais parti. A midi je la rappelais pour contredire la pensée du matin.
Nous n’arrivions pas à décoller. La houle et les vagues étaient contraires à la marche du bateau. J’ai tenté de tirer des bords avec l’appui du moteur. Ça ne voulait pas y aller. Je reconnais, j’ai abandonné trop vite. Mais je n’en peux plus d’avoir le vent dans le nez et de marcher au moteur. Je savais que le vent tournerait et deviendrait portant. Je ne n’ignorais pas non plus que j’avais ensuite des vents contraires. Je m’étais fixés une limite inférieure à ne pas dépasser pour arriver à la pointe Bretagne. À cette vitesse nous serions arrivés au moment où les vents d’est se seraient réveillés et nous nous serions retrouvés à La Corogne.
- é el fé koi bernadette pr linstan ? Dixit Vivien
Evidemment si nous étions partis le jour d’avant, nous n’aurions pas eu de problème de vent. Cependant nous aurions fait des omelettes sans casser les œufs.
Mon rêve de cette nuit était pourtant sympa. Nous étions arrivés et je profitais de ma petite famille.
Si ça continue, je demande à Bernadette, de transformer Avel Vat en roulotte avec deux chevaux de traits. Plus je vois la mer, plus j’aime la terre
Courage, ça va finir par le faire. On pense à vous et à toi Vivien très fort.
RépondreSupprimerEt les airs, c'est pas mal aussi; Un p'tit port sympa pour Avel vat, tu le loues comme résidence de vacances cet été, et hop dans quelques jours de retour...ouf et tu aviseras après.
RépondreSupprimerEn plus Vivien pourra t'aider à repeindre les murs entre 2 cned!
Il paraît que la nuit porte conseil, tu en seras donc plus demain. Bises à tous les deux.